Ah, l'amour!

On n'a pas fini de parler de ce sentiment aussi précieux que capricieux. On ne cesse de le décortiquer et de l'analyser. Pour mieux le comprendre probablement. L'IRB y a consacré une autre recherche exclusive. Les résultats font l'objet de sept articles actuellement sur son site. Plus précisément, sur l'amour avec un grand A. Vous y apprendrez plusieurs choses dont vous vous doutez, mais aussi certains éléments particuliers. Si ce sentiment guide et conditionne la vie de plusieurs, ce n'est pas le cas pour chacun d'entre nous. Incontrôlable, il côtoie à la fois le profond contentement et la peine sévère. La dépendance même. Comme une paire composée de ses deux contraires. C'est sans doute pourquoi il ne se retrouve qu'au 6e rang des 24 facteurs d'influence du bonheur. Vous y apprendrez que l'amour véritable n'est pas seul. Qu'au grand amour que l'on recherche, se substitue, la plupart du temps, le petit amour, celui dont on s'accommode. Vous constaterez, une fois de plus, le pouvoir et les vertus de l'argent qui semble, en partie du moins, fédérer ce sentiment. Que la chimie sexuelle, pour plusieurs, ne constitue pas un pré-requis à l'amour avec un grand A, mais une valeur ajoutée souhaitée et souhaitable. Que le temps, ou l'âge, apporte son lot de désillusion. Pas de doute. Le bonheur s'exprime définitivement mieux à travers cet amour véritable, mais si ce n'est le cas, le bonheur peut tout de même survivre et trouver d'autres refuges pour l'abriter.