Google s'intéresse à l'IRB!

Une très belle vitrine ainsi qu'une magnifique marque de reconnaissance du travail réalisé depuis plus de 5 ans par l'IRB. Ainsi, j'ai été invité à présenter à Google ce qu'est l'IRB et ce qu'il peut apporter à nos sociétés. Un « technical talk » comme ils appellent. Une présentation simple qui est maintenant accessible aux quelques 30 000 employés de Google sur la planète ainsi qu'à tous ceux et celles que le sujet intéresse via le compte You Tube de Google. La partie n'est évidemment pas gagnée, mais j'ai toujours cru, dès le départ, au potentiel de cet indice. À son rayonnement ainsi qu'à sa capacité d'améliorer le sort des humains en s'attardant davantage à leur bien-être en général plutôt qu'à le réduire à une seule équation financière et économique. Je demeure convaincu que l'IRB contribue à rapprocher un peu plus le bonheur de la science. Et ce je vous jure que ce n'est pas prétentieux de ma part de le prétendre. Les informations cumulées par l'IRB depuis sa fondation (plus de 800 questions), le nombre de personnes ayant participé à l'une ou l'autre des 40 enquêtes menées (près de 100 000) et les innombrables analyses effectuées permettent d'asseoir des fondements sérieux, crédibles et pertinents. De mieux comprendre les différents facteurs qui influencent le bonheur, de calculer leur impact et, par conséquent, d'agir pour l'améliorer. L'IRB permet de porter un regard différent sur tout groupe donné, qu'il s'agisse d'une collectivité, d'une municipalité ou d'une entreprise. Évidemment, le bonheur ne sera jamais complètement scientifique, mais il ne relèvera plus que de l'ésotérisme, de la « psycho pop » ou de la pensée magique. Au Québec, il est devenu une variable qui compte. Il procure une information inédite, unique et nulle part accessible dans le monde. S'agit maintenant que les décideurs le reconnaissent et s'en servent.