Conseillers RH, tout va bien!

Conseillers RH, tout va bien!

Conseillers RH, tout va bien 

Mon analyse du bonheur en fonction de la profession occupée s'est penchée cette semaine sur les conseillers (ères) en ressources humaines selon les 282 qui ont rempli le questionnaire permanent de l'IRB.

Leur IRB est au-dessus de la moyenne (77,06 vs 75,51) et, selon les réponses données, leur IRB pondéré (note attribuée par le système), est encore meilleur et se situe parmi les plus élevés (79,87 vs moyenne nationale de 74,50).

Les voyants lumineux du tableau de bord des 24 facteurs sont presque tous dans le vert. Il y a bien l'évaluation de leur état de santé qui se veut un peu plus faible que la moyenne québécoise ainsi que leur spiritualité (capacité à faire face aux choses inéluctables de la vie comme vieillir et mourir) et leur sensibilité environnementale qui laissent un peu à désirer, mais rien de vraiment inquiétant.

Leurs relations sentimentales sont très fortement évaluées. Ils font preuve d'une belle ouverture et affichent une belle capacité d'adaptation. Ils sont également satisfaits de leur travail. D'ailleurs, à ce sujet, il est évident que l'ancienneté joue un rôle important dans le niveau de satisfaction reliée à leur emploi, car il croît de façon proportionnelle à leur âge.

Ces données sont corroborées par celles obtenues via le test IRB-T (Indice de bonheur au travail) que 565 conseillers (ères) en RH ont rempli. D'abord leur IRB-T est supérieur à la moyenne (73,58 vs 71,89) et tous les facteurs sont positifs (réalisation de soi, climat de travail, reconnaissance, rémunération et sentiment d'appartenance) sauf un, le niveau de responsabilisation qui affiche un recul de -2,34 par rapport à la moyenne québécoise. 

C'est donc une bonne chose d'apprendre que ceux qui, en principe, travaillent au mieux-être  des travailleurs affichent un portrait aussi positif.