Apprendre et s'améliorer, pour son plus grand bonheur!

On dit souvent que l'on commence à vieillir à partir du moment où l'on cesse d'apprendre. C'est pour cette raison, entre autres, qu'il y en a tant qui sont déjà vieux à trente ans et d'autres, encore jeunes, même à quatre-vingts ans.

Le lien entre apprentissage et bonheur ne fait pas de doute et la récente étude de l'IRB le démontre une fois de plus. L'IRB des personnes évoluant au sein d'une entreprise qui organise souvent des sessions ou journées de formation est de 9 points supérieurs (81,60) à celui des personnes pour qui l'employeur, au contraire, n'organise que rarement ou jamais de ces journées (73,80).

Mais si l'on se fie à l'évaluation des répondants, ils sont rares ces entreprises qui accordent une grande importance à la formation. Seulement 18 % organisent souvent de ces séminaires.

 
Plus les gens sont scolarisés et gagnent des revenus élevés, plus ils sont nombreux à affirmer que l'organisation qui les engage organise souvent des sessions/journées de formation. Il en va de même pour les personnes vivant en milieu urbain.

Pratique et utile ces journées de formation

La moitié des répondants (50 %) considèrent ces journées comme utiles et pratiques alors que 11 % les considèrent essentielles et motivantes. Cette proportion croît avec le niveau de scolarité et les revenus des répondants.

À l'inverse, ils sont 18 % à les trouver inappropriées, inutiles ou ennuyantes ces journées de formation avec comme conséquence, on s'en doute bien, un important déficit de l'IRB de ces personnes.

Ateliers de travail et conférences

Parmi les activités de formation, les plus populaires demeurent les ateliers de travail dans lesquels les gens sont impliqués      (27 %), et les conférences données par des intervenants externes (23 %).

Suit ensuite, dans l'ordre, la participation à des congrès (16 %) des activités en petites équipes (14 %) et des sessions d'informations plus officielles et didactiques (10 %).