Le bonheur est dans la danse!

Le bonheur est dans la danse!

Il semblerait que oui et l'écart est considérable avec les autres formes de spectacles.

Les raisons pour le justifier peuvent être nombreuses et les vôtres valent bien celles de l'IRB. La danse peut-être festive, dramatique, physique, esthétique, athlétique, poétique, énergique et combien d'autres qualificatifs encore. Une chose est sûre, elle transporte.

Avec un IRB moyen de 86,00 pour les personnes qui affectionnent particulièrement cette forme d'expression artistique, il semble bien que pour ces amateurs, la danse et le bonheur possèdent des caractéristiques communes qui les unissent. Les femmes sont trois fois plus nombreuses que les hommes à préférer cette forme d'expression artistique (17% vs 6%) dont la popularité décroît légèrement avec les revenus des répondants.

IRB selon les types de spectacles que les Québécois préfèrent

Préférences et profils

(Les % totalisent 200%, car chaque répondant devait mentionner deux types de spectacles qu'ils affectionnent particulièrement)

Sans contredit, l'humour est le type de spectacles le plus populaire, 57% préférant cette forme d'art. L'humour est davantage apprécié par les gens vivant en milieu rural plutôt qu'urbain (65% vs 55%), par les jeunes de 25-34 ans (66%) et par les personnes avec une formation de secondaire 5 (70%). Il est à noter que parmi les personnes dont le niveau de bonheur s'est détérioré dans la dernière année, 65% préfèrent l'humour. Sans doute une façon de retrouver un peu de bonheur pour quelques heures.

Lachanson française est davantage l'affaire des 35-34 ans (43%), lachanson anglaise des enfants uniques (50%) des hommes (46%) et des personnes avec une formation de secondaire 5 (41%), le théâtre des personnes de 55-64 ans (46%) et possédant une forte scolarité (44%), les comédies musicales par les femmes (13%) et les spectacles Hommages par les personnes vivant en milieu rural (10%) et avec une faible scolarité (10%).

Notons que la préférence pour la musique classique croît de façon directement proportionnelle avec l'âge, la scolarité et les revenus des répondants. Cette seule composition démographique explique l'IRB moyen légèrement plus élevé de ce groupe.