Utiles ces technologies!

Utiles ces technologies!

Dans les faits, ce n'est pas tout à fait la perception qu'on en a, car ils sont tout aussi nombreux (23 %) à considérer que « la plupart des innovations technologiques et appareils électroniques sont utiles et contribuent à améliorer et faciliter la vie » qu'il y en a (25 %) qui pensent le contraire soit que « la plupart de ces technologies sont inutiles et nous rendent de plus en plus dépendants ».

Un peu plus de la moitié (52 %) se situent à mi-chemin de ces deux positions opposées en prétendant « qu'il y autant de technologies utiles que d'inutiles, mais que le choix n'est pas facile ».

Perception de l'utilité des différentes technologies

Les hommes sont plus nombreux que les femmes (25 % vs 20 %) à penser que la plupart des technologies sont utiles et contribuent à améliorer et faciliter notre vie, attitude qui croît avec les revenus des répondants.

À la remorque de la technologie?

On pourrait le penser, car à peine le tiers des répondants (36 %) se considèrent à jour et « up to date » par rapport à toutes ces avancées technologiques et ces plates-formes d'échanges qui nous sont offertes (facebook, twitter, etc.) .

Toutefois, si la majeure partie des répondants (46 %) estiment qu'ils sont un peu dépassés, seulement 18 % avouent vraiment tirer de la patte à ce chapitre, 15 % s'estimant passablement dépassés et 3 % perdus et confus. Dans le cas de ces derniers, leur niveau de bonheur en est affecté, leur IRB affichant un recul de 5 points par rapport à la moyenne de l'ensemble des répondants. Il faut se demander qui est au service de qui. Les technologies au service des individus ou le contraire?

Position individuelle par rapport aux avancées technologiques

Les personnes vivant en milieu urbain (37 %),les locataires (qui sont souvent plus jeunes (45 %), et les hommes, évidemment (43 % vs 28 % pour les femmes), sont les groupes qui s'avèrent les plus « à jour et up to date », attitude, on s'en doute bien, qui décroît progressivement avec l'âge des répondants, passant de 52 % chez les 18-24 ans à seulement 15 % chez les 55 ans et plus.