Une zone à ne pas franchir!

Une zone à ne pas franchir!

Nettement préférable que les parents se mêlent de leurs affaires.

Il s'agit sans doute d'un réflexe bien naturel des parents d'interférer dans les affaires personnelles de leurs enfants, mais la retenue s'avère de mise.

Et ce sont les mères qui ont le plus tendance à franchir cette zone perceptuelle, mais sensible. Alors que 61% des répondants affirment que leur mère ne se mêle jamais ou rarement de leurs affaires personnelles, cette proportion grimpe à 76% pour les pères.

Interférence des parents dans les affaires personnelles de leurs enfants

Et pourquoi cette attitude discrète s'avère-t-elle la meilleure? Parce qu'elle intervient positivement sur le bonheur des enfants, et ce, de façon directement proportionnelle.

IRB selon le degré d'interférence des parents dans les affaires personnelles de leurs enfants

Ces données et celles des articles précédents démontrent bien toutefois le rôle de chef de la mère au sein de la famille ainsi qu'une certaine volonté de demeurer au cœur de la dynamique familiale et, dans une certaine mesure, de la gérer. Du côté du père, d'un certain détachement ou de responsabilités qu'il ne souhaite pas nécessairement assumées.

Les jeunes et les personnes qui vivent seules sont les groupes les plus nombreux à considérer que leurs parents (autant mère que père) interfèrent souvent dans leurs affaires personnelles. À l'opposé, les personnes qui déclarent les plus hauts revenus sont les plus nombreuses à prétendent que leurs parents n'interfèrent jamais dans leurs affaires